Quelques dessins... et parfois quelques mots (copyright Nikos Leterrier). Some drawings... and sometimes writings. Algunos dibujos... y a veces palabras. Einige Zeichnungen... und manchmal Wörter. いくつかの絵...時々言葉も。Несколько рисунков... и слов иногда. Alcuni disegni... e a volte parole. Några ritningar... och ibland ord. Câteva desene... şi uneori cuvinte.
mardi 19 décembre 2017
lundi 11 décembre 2017
vendredi 8 décembre 2017
Répit
Un jour, un seul, de liberté,
Loin du venin mangeur d’idées.
Une seule nuit d’asile,
Sur une planète immobile.
Un jour de vérité pure,
Sans cailloux dans ma chaussure.
Une heure de tranquillité
Sans la male herbe du regret.
Jour de fragilité permise,
Sans peur en mon âme démise.
Ce soir n’accueillera ni guerre,
Ni démence, ni arbitraire.
Un jour, un seul, sans mains coupées,
Sans os rompus, sans corps violés.
Sans humiliations, sans ordures,
Sans pied écrasant ma figure,
Où nulle horreur ne puisse entrer,
Ni la folie qui fait pleurer,
Ni celle qui pousse au crime.
L’espace d’un soupir infime
Sur la partition d’infamies
Qui s’étend jusqu’à l’infini,
Égrainant son rythme inflexible
En portées de cris inaudibles.
Un jour, un seul, sans la nausée
De voir l’inepte gratifié.
Un instant piégé dans le verre
Et sur ma langue rien d’amer.
Un jour, un seul, sans le vacarme
Qui naît sur le fil de leurs armes.
Une heure noire de silence,
Pour les questions sans repentance,
Sans pièges en guise de réponse,
Que l’ombre d’un doute et les ronces
De ces mystères légitimes,
Qui hantent le monde et l’animent.
Loin du venin mangeur d’idées.
Une seule nuit d’asile,
Sur une planète immobile.
Un jour de vérité pure,
Sans cailloux dans ma chaussure.
Une heure de tranquillité
Sans la male herbe du regret.
Jour de fragilité permise,
Sans peur en mon âme démise.
Ce soir n’accueillera ni guerre,
Ni démence, ni arbitraire.
Un jour, un seul, sans mains coupées,
Sans os rompus, sans corps violés.
Sans humiliations, sans ordures,
Sans pied écrasant ma figure,
Où nulle horreur ne puisse entrer,
Ni la folie qui fait pleurer,
Ni celle qui pousse au crime.
L’espace d’un soupir infime
Sur la partition d’infamies
Qui s’étend jusqu’à l’infini,
Égrainant son rythme inflexible
En portées de cris inaudibles.
Un jour, un seul, sans la nausée
De voir l’inepte gratifié.
Un instant piégé dans le verre
Et sur ma langue rien d’amer.
Un jour, un seul, sans le vacarme
Qui naît sur le fil de leurs armes.
Une heure noire de silence,
Pour les questions sans repentance,
Sans pièges en guise de réponse,
Que l’ombre d’un doute et les ronces
De ces mystères légitimes,
Qui hantent le monde et l’animent.
jeudi 7 décembre 2017
Rendons hommage...
à Johnny, qui incarne si bien
deux valeurs françaises si essentielles :
l'évasion fiscale
et
la violence conjugale
... un "héros français" s'il en fût!
mercredi 6 décembre 2017
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